À 32 ans, Agathe Auproux annonce sa première grossesse. Une étape heureuse après avoir surmonté un lymphome en 2019. La journaliste partage la nouvelle avec son compagnon, le rugbyman Maxence Picardet.
Une annonce intime sur Instagram
Agathe Auproux a choisi Instagram pour dévoiler sa grossesse. Sur un cliché doux et sans mise en scène, elle confie : « Je suis en train de fabriquer un être humain dans mon ventre. »
Ses mots simples ont touché ses 800 000 abonnés. Depuis son combat contre le cancer, la jeune femme partage régulièrement les moments forts de sa vie. Ce nouveau cap en est un.
Un couple soudé par l’épreuve
À ses côtés, Maxence Picardet, joueur de rugby à sept passé par Toulon et Nice. Le couple s’est fiancé en octobre 2024. Ensemble, ils ont traversé les moments difficiles du traitement d’Agathe.
Dans cette annonce, elle souligne le soutien de Maxence, discret mais constant. Leur histoire inspire par sa simplicité et sa force.
La maternité après la maladie
Diagnostiquée d’un lymphome en 2019, Agathe avait évoqué sans détour ses traitements, dont la chimiothérapie. Des traitements qui peuvent parfois affecter la fertilité.
La grossesse spontanée qu’elle vit aujourd’hui est une surprise heureuse. Elle écrit : « Je sais que ce n’est pas donné à tout le monde. J’ai une pensée forte pour celles et ceux qui luttent encore. »
Une vie nouvelle à Nice
Installée dans le sud de la France avec Maxence, Agathe a pris du recul avec la télévision. Depuis son départ de « TPMP », elle privilégie des projets plus personnels, entre écriture, réseaux sociaux et conférences.
Cette nouvelle maternité marque aussi un virage. Moins d’exposition, plus d’ancrage. Le ton de son post, posé et sincère, reflète cette nouvelle énergie.
Un témoignage pour celles qui doutent
Agathe ne cherche pas à donner de leçon. Elle raconte un parcours, avec ses peurs et ses espoirs. Et surtout, elle tend la main à celles qui vivent des parcours de santé difficiles.
- 1 femme sur 8 est touchée par le cancer du sein avant 75 ans.
- Les traitements impactent la fertilité chez 30 % des jeunes patientes.
- Des options existent : préservation des ovocytes, PMA, accompagnement psychologique.
En partageant son vécu, Agathe montre qu’une grossesse après un cancer est possible. Pas toujours facile, mais possible. Et que chaque histoire mérite d’être entendue.
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